Résumé : |
La fiction, dans Primtemps de beauté, voile une réalité reconnaissable. Le récit emprunte au témoignage, avec des repères temporels et géographiques. Conrad Martin, le narrateur, semble un frère jumeau de l'auteur. En regard, Mater Dolorosa suppose une transposition élargie. La voix qui parle, d'abord, est celle d'une femme, d'une génitrix ardente et déchirée. Les lieux sont sans doute identifiables, mais comme englobés dans délire du sujet... |