Résumé : |
La majeure partie des poèmes de Macedonio Fernández (Argentin 1874-1952) rassemblés sous ce titre sont consécutifs à la mort prématurée, en 1920, d’Elena de Orbieta, épouse de Macedonio, lequel ne se remettra jamais vraiment de sa disparition. Ils sont en quelque sorte, ces poèmes l’intime conjuration réitéré d’un homme soudain placé devant une réalité insoutenable. |