Résumé : |
La musique tonale n'est plus, aujourd'hui, la seule en compétition, mais le système qui la fonde reste la grammaire d'une langue vivante, fortement présente. Partant des théories du Viennois Heinrich Schenker, il expose les principes qui, depuis plusieurs décennies, ont marqué les nouvelles études musicologiques. L'exposé comprend une réflexion sur le rythme et la prosodie des oeuvres tonales, et tente de réévaluer le rôle de leur aspect thématique. L'ouvrage se termine sur une sorte de méditation de ce que pourrait être la mise en place d'une stylistique et d'une sémantique structurale de la musique. |